L’économie 1002 est un enseignement pour simuler les secteurs faibles de l’économie, les entreprises faibles et même ceux qui sont déjà forts en quelque sorte, comprendre pourquoi le travail à la chaîne est moins efficace que le mode de production par cellules, et en plus, vous comprendrez même que le pouvoir organisationnel tire ses ficelles en partie de ce qui sera enseigné dans cette nouvelle « L’économie 1002 ». Il est fortement recommandé de lire la nouvelle « L’économie 1001 » avant celle-ci pour comprendre l’importance de la hiérarchie dans l’économie.
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Vous verrez que le graphique n’a plus de courbe pour exprimer l’offre et la demande, car d’une façon ou d’une autre, avec l’ancienne méthode, la définition des points des courbes de l’offre et de la demande était placée de façon aléatoire. Et même avec des données du marché… Quel marché au juste ? C’est là la bonne question, donc l’application des données des marchés représentait une application aléatoire. Voici le nouveau graphique de l’offre et de la demande :
À la figure 1, nous accordons la quantité à la demande, et nous accordons le prix à l’offre, car il faut « accorder » les variables pour qu’un modèle économique soit « fort » représentatif. Plus les quantités sont fortes, suivant le dégradé jaune, plus le jaune représente que la demande est concentrée. Car un produit qui est impopulaire ou presque inutile ne trouve pas de demande concentrée. De plus, si un produit est fortement en demande, tel le pétrole par exemple, il est faux de dire que le produit est en demande continuellement jusqu’à l’infini comme le suggérait les anciennes façons d’exprimer la demande avec la méthode des courbes, car quand tous les consommateurs ont eu ce qu’ils voulaient, ils n’en demandent plus : ce pourquoi la pointe du triangle hiérarchique.
À la figure 1, le graphique suggère un axe horizontal seulement, car il faut comprendre que le sens des flèches indiquent que la demande « tire la couverte » sur son bord et l’offre fait de même en tirant la couverte sur son côté. Pour expliquer l’offre, plus le prix devient fort donc concentré par rapport à la valeur du produit ou service, plus celui-ci tend à être offert, mais il y a une pointe maximum, car les ressources tant matérielle qu’humaine ne sont pas illimitées.
À la figure 1, pour expliquer le graphique dans sa globalité, le bas de la hiérarchie de l’offre jusqu’au haut de la hiérarchie exprime qu’à la base un produit ou service doit être de plus en plus sophistiqué dans pour avoir de la concentration dans le prix. Et ceci exprime que les produits et services moins dispendieux sont ceux offerts au bas de la classe de la hiérarchie d’une classe d’individu dans la société. Et ceux du haut de la hiérarchie, donc plus sophistiqué plus rare, sont ceux offerts à la classe de la société la plus aisée financièrement.
Nous pouvons voir les limites d’un tel modèle d’entreprise (magasin à 1 dollar) même si elles font de l’argent. C’est aussi proche de l’idéaliste communisme de Fidel Castro, nous pouvons y voir la limite de prospérité d’un tel système.
Pensons aussi à l’offre et la demande pour l’emploi : qui souhaite avoir un travail sur une chaîne de montage, où l’enrichissement de la tâche n’y est pas ?
Étant donné que les médecins sont d’une rareté, les hôpitaux chargent le plein prix. Mais les hôpitaux seraient plus rentables avec plus de médecins, car la quantité maximale n’a pas été atteinte.
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Le régime égalitaire empêche que certains produits et services soient offerts, et par conséquent même les produits de base deviennent inaccessibles parce que le bas de la hiérarchie se rétrécit, et par conséquent c’est une économie divisée, car il n’y a pas de haut de la hiérarchie. La division de l’économie entraîne des manques dans la population, car la prospérité des entreprises n’y est pas, et alors le gouvernement à lui seul ne peut suffire à lui seul pour assembler l’économie, car même la compétence ne trouve pas place, car il y a le chaînon manquant entre le gouvernement et la population tout égale.
Et pour continuer, pour comprendre ce que bloque le communisme, ce n’est pas un système qui a des prix optimaux représentant le meilleur rapport qualité/prix, c’est un système qui a une seule fonction : le gouvernement. Alors que dans un pays capitalisme et démocratique, le gouvernement monte sachant qu’il est appuyé par la population de toutes les classes, et ainsi il devient puissant, car il est éloigné du bas niveau. Dans un pays communisme, le gouvernement s’acharne à vouloir créer le pouvoir au lieu de le cultiver à l’intérieur de la population, et c’est donc un pouvoir virtuel parce qu’il est imaginé par le gouvernement : si la population n’a pas de pouvoir, alors qui peut en avoir; la mitraillette ?
Mais ceci n’est pas pour renverser le communisme avec des émeutes, c’est pour que les pays communismes acceptent de transiger « calmement » vers un mode démocratique et capitalisme, en faisant prendre conscience de la hiérarchie et le pouvoir, comme l’exemple du dernier de classe, si les gens sont égaux en salaire, ils sont tous derniers et donc tous pauvres. Et s’ils sont tous égaux en pouvoir, donc tous petits en pouvoir. C’est la triste réalité…
En réalité, chaque citoyen doit être capable de générer un pouvoir, pour que le gouvernement cultive ce pouvoir.
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