Les échéanciers, comme dit dans un livre à venir, nuisent, car ils sont utilisés pour qu’un système soit axé sur la performance, et aussi cela indique qu’une entreprise est cheap (veut payer pour produire de la qualité moindre). Et pour bien d’autres raisons, nous ne devons pas utiliser les échéanciers.
Enfin, ce document vous montrera l’utilisation d’un système parallèle au temps qui vous permettra d’ordonnancer correctement le temps alloué sur vos projets, sans brimer la qualité du projet, sachant que ce n’est pas la coupure de temps qui permet de gérer un projet sans que les employés traînent trop.
De plus, ce document vous renseigne sur la façon correcte de gérer son temps pour que vous soyez ponctuel. Il existe 2 façons de voir le temps : la méthode de l’horloge et le temps progressif.
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La méthode de l’horloge est limitée tant en qualité qu’en quantité. Elle est comparable à un projet qui se construit comme une pyramide égyptienne, donc chaque s’emboite un par-dessus l’autre jusqu’à ce que nous atteignons le dernier stade de développement (voir figure 1 ci-dessous). Cette méthode est ancienne et peu révolutionnaire… elle ne permet pas de faire du progrès durant l’achèvement d’un projet. C’est fixe comme développement, exactement fixe comme les aiguilles d’une horloge, car ça ne tient compte qu’un développement traditionnel.
Cette vieille méthode, identique à la liste d’actions mises dans les plans d’affaires, doit être remplacée par le graphique hiérarchique de la figure 2.
Avec ce nouveau graphique, nous pouvons nous rendre compte de la gestion d’un projet si proportionnellement le temps variait trop pour une tâche définie sans que les gens qui travaillent sur le projet soient esclaves de devoir respecter des dates : ce qui n’a aucun sens avec les échéanciers. Dans ce nouveau principe, la « proportion » est plus juste.
De plus, nous retrouvons simultanément les tâches du projet, les développements connexes, etc.
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La liberté n’est pas seulement un sentiment, parce que nous l’avons tous, sauf si vous étiez prisonnier. Cependant, reprenons d’une autre façon la thèse du prisonnier. Avec cette thèse, il faut voir que certains sont prisonniers du temps, car ils veulent que les vacances arrivent.
Mais, la liberté n’est pas les vacances, les vacances sont un repos. La liberté, c’est de voir que vous êtes auteurs de votre propre travail. C’est ainsi que les échéanciers ne font que demander le travail de patron sadique s’accomplisse en un temps record. Alors qu’avec la liberté, notre contribution ce n’est pas notre temps, c’est notre cœur. Donc, si le travail ne fait que vous demander du temps et des connaissances, le « temps » que vous offrez est déjà trop demandé. Le temps ne doit pas avoir d’importance, c’est l’amour que vous donnez à votre travail qui compte ! Il faut que le travail soit organisé avec la figure 2, et non la figure 1, pour que le travail s’apprécie, sachant qu’il y a des pauses dans un travail pour que vous vous ressourciez et que vous ayez pris le temps d’aimer ce que vous faites. La figure 2 fait en sorte que le travail d’équipe n’est pas concentré tous sur la même personne.
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